Illustrateur et sculpteur, Aldo Shiroma propose des formes ludiques issues de ses souvenirs d'enfance : animaux parlants, robots et machines volantes qui semblent sortir de la bande dessinée.
De cara al sol (face au soleil) sera installée dans le parc des sculptures de Saint-Béat-Lez.
Tom Jablin est guidé dans son travail par la contemplation de la nature, de l'univers océanique, ainsi que des corps humains et animaux.
Son œuvre aux formes organiques intégrera le parc des sculptures de Saint-Béat-Lez.
La paix, la guerre et la violence sont les thèmes centraux du travail de Bahman Chegeni. A l’instar de l'œuvre qui sera installée à Moustajon, les mains apparaissent dans nombre de ses œuvres, comme un moyen d'expression pour la liberté de choix et pour l'humanité, mais également pour le côté obscur de nos actions.
Lorena Olivares envisage ses sculptures dans une interaction entre le paysage et le spectateur. Elle définit son travail comme une abstraction organique, liée à la nature et sa géométrie.
Inspirée d’un trek à travers la cordillère des Andes, son œuvre, Nacimiento del agua (naissance de l’eau), sera installée à Luchon.
Sculpteur d’origine néerlandaise, le plus souvent inspiré par l’animalier, Rob Kirkels propose dans ses sujets un soupçon d’humour et une recherche approfondie du détail.
Son œuvre est destinée au village d’Arguenos, un autre village pyrénéen aux carrières de marbre blanc.
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Willie Morlon s’intéresse aux détails plastiques de son environnement pour les détourner et les faire rejaillir sous la forme de dessins et de sculptures.
Il participe à la résidence “artiste émergent”, qui est un espace de découverte pour l’expérimentation de nouvelles approches artistiques du travail de la matière.